En compagnie de mon collaborateur Maxime et de mon ancien collaborateur Quentin, j’ai tout récemment effectué l’ascension de l’Aiguille du Tour (3.542 m) à partir de Champex-le-Lac, en passant par la cabane du Trient.
Une course émouvante à plus d’un titre.
D’une part, parce qu’il y a 30 ans, Hubert Dubedout disparaissait dans cette même ascension, à l’Arête de la Table, lors d’une course d’entrainement en vue de celle du Cervin. Une personnalité qui a profondément marqué ma vie d’homme politique, et d’homme tout court.
Ensuite parce que cette sortie était la première course en haute montagne de Quentin, qui a su démontrer toute son habilité à gérer cette sortie, au cours de laquelle il a appris son admissibilité au concours national de Directeur d’hôpital. Je lui souhaite pleine réussite pour les semaines à venir !
Ainsi, passé et avenir se sont entremêlés, au cours de ces quelques heures qui, comme toujours en montagne, resteront gravées durablement dans ma mémoire.