Chaque mois, les abonnés à ma « Lettre d’info » reçoivent un résumé complet de mes activités, un point sur mon agenda à venir, et un édito où je m’exprime sur l’actualité, sur les valeurs auxquelles je crois et sur mes vœux pour notre ville, notre territoire et notre pays.
Retrouvez, dans cet article, l’édito du mois de Février :
« L’avenir ne se prévoit pas, il se prépare ». Maurice Blondel.
J’ai toujours souhaité m’engager publiquement en ouvrant aussi largement que possible le champ de mes interventions. Ainsi, à Grenoble, j’ai toujours voulu que les projets ne se cantonnent pas aux seules frontières de la ville. Et ce qui est vrai pour le territoire l’est aussi dans le temps : les projets ambitieux ne peuvent rarement s’enfermer dans les limites d’un seul mandat. De nombreux projets lancés entre 2008 et 2014 ont été poursuivis ou terminés après la fin de mon 3ème mandat (citons par exemple la ligne de tramway E, le parc Flaubert ou bien encore la Belle Electrique). C’est ainsi que se créent les dynamiques qui façonnent une ville en préparant son avenir !
Aussi, quel plaisir de constater qu’en ce début d’année 2016, certains de mes vœux voient le jour, prennent forme et perdurent, et ce dans plusieurs domaines.
Il y a d’abord la Halle de Tennis qui s’est achevée, offrant à tous les passionnés de ce sport une structure couverte de grande qualité permettant de pratiquer dans les meilleures conditions et de soutenir de fortes ambitions.
Je pense aussi à la donation de Pierre Bergé d’un ouvrage sur Stendhal à la valeur inestimable, qui scelle une fidélité pour Grenoble initiée dès 2006 et qui s’inscrivait dans notre volonté constante de soutenir la vie artistique et le patrimoine culturel de notre ville.
Enfin, l’annonce récente du Ministre de la Ville, Patrick Kanner, d’un financement de l’Etat pour un renouvellement urbain de la Villeneuve basé sur l’innovation environnementale, sonne comme un écho positif à ma volonté, amorcée dès 2013, de faire de cette partie dela ville, le premier écoquartier en renouvellement urbain et social de France.
Je reste persuadé qu’une ville se meurt lorsqu’elle ne fait pas le pari de l’avenir, avec une vision à long terme et des projets ambitieux.