Grenoble accueille en cette fin de semaine les rencontres nationales « Patrimoine bâti et développement durable » (*).
Invité par les organisateurs à ouvrir ce colloque, ce moment a été l’occasion pour moi de proposer un rapide tour d’horizon de l’histoire contemporaine du développement de notre ville à la fois sur le plan économique, scientifique et technologique (de la Houille blanche à la puce électronique), culturel, démographique, social et bien évidemment urbanistique et environnemental.
Un développement dont l’esprit d’innovation et de liberté est le fil rouge, ancré dans les gènes de notre ville depuis de nombreuses années et que je défends.
Et parce qu’elle a valeur d’exemple, j’ai exposé brièvement notre action en faveur de la protection de l’environnement à travers la démarche « Facteur 4 » menée par la Ville de Grenoble et les objectifs ambitieux, notamment en termes de réduction d’émission des gaz à effet de serre, de politique de transports, de requalification du bâti et de développement de programmes HQE (haute qualité environnementale), que nous nous sommes fixés en allant plus loin encore que les préconisations européennes en la matière.
J’ai également insisté sur notre devoir d’évaluation de cette action et notre volonté de souligner les aspects moins « visibles » de notre politique en faveur de la protection de l’environnement.
(*) Rencontres organisées conjointement par l’Association Nationale Villes et Pays d’Art et d’Histoire & l’association des Villes à Secteurs Sauvegardés et Protégés en partenariat avec la Caisse des Dépôts et Consignation et la Ville de Grenoble.