La disparition de Pierre Boulez ne m’a pas laissé indifférent.
De Paris à Cleveland, de Londres à New York et Baden Baden, il aura profondément marqué le monde musical de ces dernières décennies par son intelligence, son avant-gardisme et ses intuitions prophétiques.
Il avait honoré Grenoble de sa présence en 2007, dirigeant un concert à la MC2, dans l’auditorium qu’il considérait comme l’un des tout meilleurs d’Europe.
Belle émotion !