Organisé conjointement par l’Association des Maires de Grandes Villes de France et la Caisse des Dépôts, j’ai ouvert mardi dernier aux côtés d’Augustin de Romanet un colloque intitulé « Subir ou choisir : la voiture individuelle, le ghetto, l’étalement urbain ».
Devant plus de 200 participants, le directeur général de la Caisse des Dépôts a souligné la nécessité de reconstruire sur elle-même une ville qui soit agréable, différente du rêve américain qui n’est pas forcément le nôtre.
Pour ma part j’ai rappelé la nécessité que la ville d’aujourd’hui et celle de demain prenne en compte de nouveaux « défis globaux », tels que l’augmentation de la population urbaine, l’allongement de la durée de vie, l’intensification de la mobilité et le changement climatique pour une plus grande mixité sociale, pour moins d’étalement urbain, pour plus de déplacements doux, pour une ville de mieux vivre ensemble.