Lundi matin, j’ai ouvert le 10ème Congrès de l’Association française de Science Politique (AFSP) qui se tenait à l’IEP de Grenoble jusqu’à mercredi. J’ai tenu, à cette occasion, à saluer l’investissement et le professionnalisme de toute l’équipe d’organisation, et notamment de Nona MAYER, la Présidente de l’AFSP, d’Yves DELOYE, son Secrétaire général, et d’Olivier IHL, le Directeur de l’IEP de Grenoble.
Ce congrès est celui du soixantième anniversaire de l’AFSP. Le choix de Grenoble, ville cosmopolite et multiculturelle, n’est pas anodin pour accueillir cet événement puisque qu’il se déroule parallèlement à la 3ème édition du Congrès international des associations francophones de science politique et qu’il sera donc enrichi des travaux et réflexions d’universitaires venus des 5 continents.
Je ne peux que me féliciter que notre ville accueille, pour la deuxième fois de son histoire, un tel événement, preuve qu’elle reste bel et bien à l’avant-garde de la réflexion et de la recherche, tant en sciences dites « dures » qu’en sciences humaines. Je suis également très heureux du rayonnement de notre IEP – dont je suis moi-même diplômé – qui après avoir fêté son 60ème anniversaire il y a quelques mois, continue à faire la une de l’actualité universitaire en accueillant une manifestation aussi prestigieuse qui réunira près de 800 intervenants et 1000 congressistes pendant ces trois jours.