De nombreux grenoblois ont assisté à la première « rencontre-débat » organisée dans le cadre de la procédure de révision du Plan local d’urbanisme, vendredi soir à l’hôtel de Ville. Le sociologue et directeur de recherche au CEVIPOF Jean Viard et Christine Royer, architecte-urbaniste, sont venus apporter leurs éclairages et échanger autour de « la ville de demain ».
Accompagné des mes collègues élus Philippe de Longevialle, adjoint à l’Urbanisme, et Laure Masson, adjointe à la Démocratie locale, j’ai ouvert cette soirée en rappelant que les villes abritent aujourd’hui un peu plus de 50% de la population mondiale : un chiffre qui s’élèvera à 60% en 2030 et à 70% en 2050. J’ai également insisté sur le fait que Grenoble et sa métropole avaient de nombreux atouts pour être des leviers de la croissance : pôles universitaires, de recherche, d’innovation, qualité de l’offre culturelle, éducative ou sportive, qualité du cadre de vie… Enfin, avant de passer la parole aux invités, j’ai rappelé que nous ne pouvions plus nous contenter d’une prospective à l’échelle de la ville-centre et que j’étais personnellement favorable à un PLU communautaire.